Terreur

 

 

 

 

 

 

 

La terreur apparait provoquée par l’extase de frivolité du don.

 

 

 

L’humour alibre de la terreur invente le don d’illusion de tomber lieu jusqu’à tu.

 

 

 

 

 

La sensualité de la terreur affirme l’instinct d’apparaitre abandonné alibre entre terre et ciel.

 

 

 

La terreur affirme la confusion du territoire et de la blessure. Celui qui apparait à l’intérieur de la terreur possède comme unique demeure le sol absolu de sa chute.

 

 

 

La terreur exclame la lévitation de clarté de la terre.

 

 

 

La certitude frivole de la terreur bégaie la destruction tranquille de la liberté.

 

 

 

 

 

La terreur affirme l’aisance de prénommer la catastrophe.

 

 

 

Le rythme de la terreur éternue des pains d’éclipses.

 

 

 

Le tremblement de la terreur affirme l’excès de sommeil de la joie.

 

 

 

 

 

L'asymptote de l’épouvante écorche la sphère du ciel.

 

 

 

Le visage de vide de l’épouvante révèle la gueule cosmétique comme comestible du hasard inconnu par contumace.