Miracle

 

 

 

 

 

 

 

Croire au miracle abolit le miracle.

 

 

 

La stupidité du souci est de croire aux miracles. A l’inverse, la bêtise de la joie affirme le geste de donner à l’incroyable du miracle un assentiment bestial.

 

 

 

Il est inutile de croire aux miracles. Le scandale de la sagesse affirme seulement le geste de provoquer les miracles.

 

 

 

Le miracle apparaît toujours destiné à celui qui ne l'attend pas.

 

 

 

 

 

Le miracle déclare le crâne de blessures du sang.

 

 

 

L’obscénité du miracle sculpte l’iceberg d’hémorragie du crâne.

 

 

 

Le chaos d’ailes du miracle couve les clous d’alcool du comment ça va.

 

 

 

 

 

Le miracle donne à sentir le rythme de clarté de la monotonie.

 

 

 

Le miracle provoque l’étonnement d’apparaitre aimé par une chose du temps.

 

 

 

L’indécence de désespoir du miracle déclare la jubilation de silence d’aimer le hasard de nécessité de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

Le miracle déclare l’immanence de l’absolu.

 

 

 

L’athéisme du miracle apparait comme une drôle d’idée.

 

 

 

Les seuls miracles utiles apparaissent inventés par l’insouciance du mépris.

 

 

 

 

 

L’incroyable gèle la respiration du regard.

 

 

 

L’évidence burlesque de l’incroyable exclame l’énigme alibre de la terreur.

 

 

 

La crampe de maquillage de l’incroyable accomplit l’offrande de disparition du temps.