Danse

 

 

 

 

 

 

 

La danse flirte avec la catastrophe.

 

 

 

La danse flirte avec la catastrophe du temps.

 

 

 

La danse pose la catastrophe de facilité du temps. La danse pose appose repose la catastrophe de facilité du temps.

 

 

 

 

 

La danse insinue l’équarrissage d’imminence du chaos.

 

 

 

La danse affirme l’odeur sans pardon de l’équilibre comme paralysie projectile de l’espace.

 

 

 

La danse abandonne les exclamations de déchirure frivole du calme.

 

 

 

La danse exclame la musculature d’ascèse du sommeil comme montagne de dynamite de la monotonie.

 

 

 

Seule la terreur insouciante de la danse sait comment égorger le regard d’un jardin.