Prénom

 

 

 

 

 

 

 

Le prénom affirme la forme symbolique de la solitude.

 

 

 

Le prénom improvise la parure de préhistoire de la solitude.

 

 

 

 

 

Le prénom révèle l’imminence d’au revoir du sommeil.

 

 

 

Le prénom révèle le vertige d’au revoir du sommeil.

 

 

 

Le prénom apparait écrit par l’absolu immédiat du sommeil.

 

 

 

 

 

La nécessité impeccable du prénom détruit le désir d’ubiquité de la pensée.

 

 

 

La nécessité impeccable du prénom a lieu comme geste de jeu de l’utopie.

 

 

 

Le prénom donne comme vole l’utopie de l’apparition de la chair.

 

 

 

 

 

Le prénom donne à sentir l’impureté translucide du visage.

 

 

 

La pulsion du prénom pénètre la crudité incroyable du visage.

 

 

 

Le prénom révèle le hurlement d’humour du visage.

 

 

 

 

 

Le prénom apparait comme le seul athée de naissance.

 

 

 

La solitude du prénom apparait athée à l’instant l’instant.

 

 

 

 

 

Le feu de monotonie virtuose du prénom provoque l’exaltation de facilité de l’inouï.

 

 

 

Le jeu de respirer le poignard de son prénom affirme le gag de dormir en équilibre au sommet de son odeur.

 

 

 

 

 

Embrasser avec son prénom. Embrasser par le seul geste de dire son prénom. Il apparait nécessaire afin d’y parvenir de déclarer son prénom à l’intérieur de l’espace d’audace alibre entre le sommeil et la veille, entre le besoin de sommeil et l’habitude de la lucidité.

 

 

 

Le geste d’embrasser avec son prénom déclare l’immédiat de l’inconnu. Le geste d’embrasser avec son prénom transforme la main de l’immédiat en crâne de l’inconnu.